Il faut bien se lancer

Poser la laine de mouton, c’est notre mission du jour.

Première découverte : les rouleaux !

 Et tout de suite, un petit détail nous saute aux yeux…
👉 La largeur entre les chevrons n’est jamais la même. Ce serait trop facile sinon !

Commence alors un vrai travail de découpe, en longueur et en largeur, pour remplir chaque bande du faîte jusqu’au mur.

Pourvu que la largeur soit constante sur toute la longueur...

 Premiers tâtonnements :

  • "Tire plus !"

  • "Il manque 20 cm !"

  • "Impossible de me glisser jusqu’au bout !"

Nous attaquons par le pan sud — le plus petit, mais aussi le plus biscornu.
Une poutre bloque le passage à 15 cm du sol, et les jonctions entre pans demandent des coupes en biais.
Nos talents en géométrie sont mis à rude épreuve !

Après quelques contorsions, on change de stratégie :
👉 “Et si on commençait par les grands pans ? Au moins, pas de biseaux à tailler à l’extrémité.”

La difficulté reste la même : passer derrière les poutres porteuses.

Agrafer de haut en bas... une sinécure ?

Mais on finit par trouver notre rythme.

Petit à petit, la méthode s’installe :
les bandes de laine découpées sont posées en attente, sous leur emplacement,
comme des plaques de lasagnes prêtes à enfourner.
Les chutes s’empilent en tas de tagliatelles

Notre chantier prend des allures de cuisine italienne :
une pincée de patience, quelques ajustements, beaucoup de bonne humeur.

Et vous, dans quel projet vous êtes-vous autorisé à “apprendre en faisant” ?

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Qui suis-je ?

Je suis Cécile de Villemeur, amoureuse de la Nature et de l’Humain.

Je crois profondément qu’un monde heureux, florissant et solidaire est possible. Il commence par une reconnexion intelligente et sincère avec le Vivant.

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Notre mission : cocréer des écosystèmes humains (voire urbains) harmonieux, résilients et prospères, où chaque acteur contribue activement au bien-vivre ensemble