Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait... c'est peut-être ce qui pourra se dire dans quelques mois. En attendant, nous avons entamé une aventure dont nous ne mesurions pas totalement l'ampleur : isoler notre toiture.
Le point de départ, c'est une belle et grande maison en montagne (1500 m d'altitude), dont le toit est isolé avec une couche d'isolant mince (5 cm d'épaisseur) à base de laine de mouton. Il y aurait d'autres détails à donner, mais pour aller à l'essentiel, c'est ce qu'on retiendra.
Première étape : identifier ce qui est requis.
Moi qui rêve de toitures végétalisées, ce ne sera pas celle-là...
Alors c'est parti pour les calculs de résistance thermique : R=7,5 minimum en rénovation. Petite recherche sur la performance des matériaux. On a un faible pour le chanvre, que nous avons manipulé au Québec, et qui est moins irritant que la paille. Mais finalement, c'est la laine de mouton qui se trouve être (un peu) plus performante que la plupart des laines isolantes.
Puisqu'il y a 8 cm d'épaisseur de chevrons, nous optons pour de la laine sur 8 cm d'épaisseur. Et pour compléter l'isolation, nous prévoyons de visser par-dessous 16 cm de fibre de chanvre...
Ah, les calculs... mais il y avait d'autres paramètres à prendre en compte pour l'isolation thermique...
Je suis Cécile de Villemeur, amoureuse de la Nature et de l’Humain.
Je crois profondément qu’un monde heureux, florissant et solidaire est possible. Il commence par une reconnexion intelligente et sincère avec le Vivant.
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